Antidépresseurs et alcoolisme sur ordonnances

Publié le par cancersurordonnances

les antidépresseurs induisent le craving a l'alcool
 
le 18/20 de Sud Radio le 4 décembre, avec Ariane Denoyel
18/20 4 décembre : les antidépresseurs peuvent rendre alcoolique !
 
Des dizaines de témoignages l’affirment, et d’éminents médecins le confirment : certains antidépresseurs peuvent vous faire tomber dans l’alcool. Ce risque concerne une classe de médicaments précise : les “inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine” ou ISRS. Ces molécules, dont la plus célèbre a été lancée en 1986 sous le nom de Prozac, étaient présentées comme des médicaments miracles. Aujourd’hui, ils sont accusés d’être peu efficaces et de créer de sévères dépendances. De plus, leurs effets indésirables peuvent s’avérer redoutables. On connaissait, entre autres, le risque de suicide augmenté, les pulsions agressives, voire meurtrières, les comportements compulsifs (jeu, shopping, etc.), l’accroissement de 87 % du risque d’autisme pour l’enfant exposé in utero. Quelques jours après la publication d’Effets secondaires, le scandale français (1), faut-il ajouter l’alcoolisme à la longue liste des effets secondaires des ISRS ?
Christophe* a 27 ans, en 2004, quand son médecin lui prescrit pour la première fois de l’Effexor®, à la suite de ce qu’il évoque sobrement, au début de l’entretien, comme “des décès dans la famille”. Le médecin ne lui délivre aucune consigne particulière. “Auparavant, je n’avais jamais abusé d’alcool. Je buvais quelques bières le week-end, dans des soirées… Mais je suis quelqu’un de responsable, si je savais que j’allais “descendre” deux ou trois verres, je ne prenais jamais le volant.” Christophe commence le traitement et ressent rapidement d’irrésistibles pulsions à consommer de l’alcool. Il boit de plus en plus, conduit dans la foulée et constate qu’il ne ressent pas les effets euphorisants de l’ivresse : “Sous ISRS, j’aurais pu boire une bouteille de vodka le matin et aller travailler comme si de rien n’était. Aucune gueule de bois. Mais ce n’était pas tout : à partir d’une certaine quantité, c’est comme si quelqu’un d’autre prenait ma place. Je me conduisais mal, je vociférais, je flirtais avec des filles – ce que je n’aurais jamais fait en temps normal, même ivre. Mes copains me racontaient mes “exploits” le lendemain, car je n’en avais gardé aucun souvenir. J’étais comme anesthésié, alors je n’en avais plus rien à f… Et ça a fini par bien bousiller ma vie.” Pendant quatre ans, Christophe n’établit aucun lien entre son traitement et son changement de comportement. Ses amis lui enjoignent de se faire soigner : à leurs yeux, il est “simplement” en train de tomber dans l’alcoolisme. Un soir, à un mariage, il boit et assure qu’il veut se suicider. La police arrive et l’embarque, un agent lui demande s’il prend de la cocaïne, de l’héroïne ou une autre drogue.
“On peut dire que les IRS ont beaucoup d’effets secondaires… dont la mort !” lance le docteur Bruno Toussaint, directeur éditorial de la revue Prescrire (3). En juin 2015, Prescrire a écrit, dans un article intitulé “Antidépresseurs IRS et venlafaxine : intoxications à l’alcool avec violences” : “Selon quelques centaines d’observations, certains antidépresseurs semblent exposer à une augmentation de la consommation d’alcool, à des signes d’intoxication à l’alcool exagérés, avec des manifestations d’agressivité. Il s’agit notamment des ISRS et de la venlafaxine.”
Pour Bruno Toussaint, “il existe manifestement un lien entre les IRS et la consommation d’alcool. Mais, comme tous les comportements – y compris les pulsions meurtrières, suicidaires –, ces effets sont difficiles à répertorier et à quantifier. On pourrait dire que ce n’est ni bien décrit ni bien “rangé” dans les bases de données pharmacologiques. Et puis, l’interaction d’une personne et d’une substance est déjà un phénomène complexe, alors imaginez si l’on ajoute l’alcool à l’équation…”
 
Il y a un lien inquiétant entre l’alcoolisme et les divers médicaments qui augmentent la sérotonine. Les médicaments les plus populaires sont : PROZAC, ZOLOFT, PAXIL, LUVOX, CELEXA, LEXAPRO, EFFEXOR, CYMBALTA, REMERON, PRISTIQ, TRAZADONE, TRAMADOL, ANAFRANIL, BRISDELLE, etc.. Pendant de nombreuses années de nombreux rapports ont été faites par des alcooliques réformées (certains pendant 15 ans et plus) qui sont « chassés » à l’alcool après un de ces médicaments prescrits. Et de nombreux autres patients qui avaient sans antécédents d’alcoolisme ont continué à déclarer une « contrainte écrasante » à boire pendant l’utilisation de ces médicaments. Il s’agissait de la première réaction d’antidépresseur que j’ai remarqué avec le premier antidépresseur SSRI Prozac parce qu’il se détachait comme un pouce endolori dans le domaine dans lequel je vivais, Salt Lake City, Utah, siège de l’église de Jésus Christ des Saints aussi appelé Mormons. Les Mormons ne buvez pas d’alcool, mais quand tant de personnes a commencé à faire après avoir lancé sur un de ces médicaments, il est devenu très évident qu’il existait un lien. Beaucoup a déclaré qu’ils n’avaient aucune idée comment ils savaient que l’alcool était ce qu’ils ont envie car ils n’avaient jamais en leur vie même goûté à l’alcool avant.
 

les niveaux accrus de sérotonine produisent, la dépression, le comportement impulsif, le meurtre et le suicide, l'incendie criminel, le crime violent, conduite insouciante, l'inquiétude, l'irritabilité, les douleurs autour du coeur, l'insomnie,l'abus d'alcool et d'autres drogues, la difficulté à respirer et l'hypertension

j'ai vu ceux qui n'avaient jamais touché l'alcool dans leur vie devenant alcoolique presque du jour au lendemain sous antidépresseurs
 
subchronique.  L'utilisation d'antidépresseurs pour l'alcoolisme chez les humains a été un sujet de controverse au cours des dernières années. Malgré l'existence d'une co-morbidité importante pour la dépression et l'alcoolisme, certaines études suggèrent que l'utilisation d'antidépresseurs peut aggraver le pronostic de l'alcoolisme
 
Vous êtes déprimé ? Renseignez-vous bien avant de prendre des médicaments. Car certains antidépresseurs peuvent vous faire tomber dans l’alcoolisme, un effet secondaire soigneusement occulté par les fabricants…
Elle n’arrivait pas à se remettre du décès de son père. Alors son médecin a prescrit à Anne-Marie Cook, une aide-soignante du sud de l’Angleterre, l’antidépresseur Deroxat. En quelques mois, cette femme de 40 ans en bonne santé, sans problème particulier, devient alcoolique, agressive, perd son travail et sa maison. Quand elle arrête le Deroxat, ses pulsions disparaissent. Un cas isolé ? Non, affirme le psychiatre britannique David Healy, créateur du site Rxisk.org sur les effets secondaires des médicaments. Il a répertorié plus de 40 cas similaires.
Tueurs fous et femmes enceintes
Un élément de plus dans le dossier à charge contre les antidépresseurs, qui sont déjà impliqués dans la plupart des épisodes de “tueurs fous” aux États-Unis (notamment à Columbine, en 1999), mais aussi en France (l’an dernier à Sète et plus récemment, semble-t-il, dans le cas du tireur de Libération). À tel point que l’administration américaine a obligé les fabricants à faire figurer sur les boîtes un avertissement, le black box warning, prévenant des risques accrus d’épisodes violents et de suicides.
“Un médicament vendu sur ordonnance peut vous rendre alcoolique, suicidaire, ou faire de vous un meurtrier”, résume le professeur Healy. On peut d’ailleurs établir un “palmarès” des médicaments les plus susceptibles de provoquer des accès de violence : ce sont tous des “best-sellers”. Sur ce sinistre podium, le “gagnant” est Champix (varénicline, pour arrêter de fumer), suivi par Prozac (fluoxétine) et Paxil (paroxétine).
Une victime s’est consacrée (jusqu’à sa mort, en 2012) à répertorier les cas d’accès de violence, de suicides et de comportements étranges sous médicaments. Son site s’appelle Ssristories.com (SSRI est l’acronyme anglais pour “inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine”, les antidépresseurs comme le Prozac).
Ces molécules sont devenues, en 2012, les médicaments les plus prescrits aux femmes enceintes. Sous prétexte que la dépression serait dommageable à la mère et à l’enfant… Étrange argument, quand on sait qu’ils multiplient par deux le risque de fausse couche et de malformations, et qu’ils peuvent provoquer des retards cognitifs importants.
 
Une revue de la littérature est mis en évidence avec un cas de dame d'âge moyen avec un nouveau syndrome de dépendance à l'alcool apparition après le début de ISRS, qui a résolu après l'arrêt de l'ISRS
 
 
il exerce l'effet chimique opposé d'un médicament antidépresseur
 
professeur david Healy
 
L'abus d'alcool et / ou Craving
 
Les stimulants, les amphétamines par exemple, ont pour effet de vous faire sentir moins rapidement saoul. Il se peut donc que vous buviez beaucoup plus que vous n’en aviez l’intention.
La combinaison vous rend souvent téméraire. Vous avez l’impression de continuer à tout contrôler (par exemple au volant), alors que ce n’est plus le cas.
Chez les utilisateurs «inexpérimentés» surtout, la perte de contrôle peut se produire plus rapidement. Le risque de comportement agressif et d’actions impulsives augmente.
Il existe d’autres risques encore : augmentation de la température du corps, phénomènes de déshydratation, troubles du rythme cardiaque, infarctus, hémorragie cérébrale, confusion mentale, attaques de panique, paranoïa et idées délirantes.
 
Un diagnostic d’alcoolodépendance peut être porté dans 50 à 90 % des cas de cocaïnomanie
 
En 2003-2004 (ci-dessous), j’ai écrit sur le syndrome de stimulation ou d’activation des réactions indésirables causées par les antidépresseurs SSRI qui sont très dangereux et ressemblent beaucoup aux effets de l’amphétamine et de la cocaïne
 
Antidépresseurs IRS : alcoolisme 
Une étude de l’université Yale parue en 1994 démontre que les antidépresseurs IRS induisent parfois l’alcoolisme chez les patients. De nombreux témoignages signalent d’irrésistibles pulsions à consommer l’alcool dès les débuts du traitement. Ces cas se justifient généralement par l’absence de ressenti des effets euphorisants de l’alcool après la prise d’antidépresseurs IRS.
Les antidépresseurs peuvent provoquer, entre autres, l'alcoolisme 

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"Les antidépresseurs provoquent la fibromyalgie, la psychose, la manie, Alzheimer, suicide, violence, dépression, anxiété, panique, l'alcoolisme, les meurtres, les meurtres de masse, avortement spontané..... " dr Ann Blake-Tracy
Antidépresseurs et alcoolisme sur ordonnances

Torturées par leurs médecins, avec des médicaments, des millions de personnes, chaque année, en meurent, sont handicapées ou sont poussées au suicide par d'atroces souffrances. Témoignons, manifestons et disons : STOP A LA TORTURE AVEC DES MEDICAMENTS !!!

EHPAD ou UHR : un univers concentrationnaire, des prisons pour personnes âgées. Alzheimer : diagnostic inventé pour les droguer à mort
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L
ma fille 35 ans , sous antidépresseur et somnifères depuis plusieurs années et quotidiennement alcoolisée , me terrifie par ses colères violentes incontrôlables , par son comportement dangereux pour elle et la personne qui sera selon elle contre elle . dégradations , menaces de mort , coup et tentatives de suicides a répétition .... j ai tout essayé , la discussion , les nombreux entretiens avec les gendarmes ou policiers . son médecin me dit qu elle est majeur et que ça ne me concerne plus . le prescripteur de tous ses médicaments dit du bonheur sont son docteur ( il lui suffit de téléphoner au cabinet médical , pour qu on lui prépare son ordonnance ) et les psychiatres qui l ont rencontrée dans ses nombreux et trop courts séjour en HP <br /> je suis bien désorientée et ne sais pas vers qui aller . le mieux , a mon avis pour elle , serait qu elle soit hospitalisée assez longtemps pour la sevrer . inutile de vous dire qu elle ne travaille plus
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C
bonjour<br /> Attention, ceci est valable pour toutes les drogues psychiatriques : "Le sevrage proposé par le corps médical en France : des méthodes inadaptées qui favorisent la rechute"<br /> http://sevragebenzo.sosblog.fr<br /> Attention aux HP, ils ne savent, le plus souvent, qu'ajouter des drogues aux drogues et sont incompétents pour les sevrages :<br /> http://survivantdespsy.kazeo.com